News

News Releases

Columbus présente une mise à jour sur le processus d’obtention de permis pour son projet Montagne d’Or, en Guyane

August 13, 2019

Vancouver, C.-B., Canada, 13 août 2019 Columbus Gold Corp. (CGT : TSX, CGTFF : OTCQX) (« Columbus ») a le plaisir de présenter une mise à jour sur son projet aurifère Montagne d’Or, qui bénéficie toujours d’un appui local solide au profit de la croissance économique en Guyane. Les parties prenantes socio-économiques, les élus locaux et les membres de l’Assemblée nationale représentant la Guyane et quatre syndicats professionnels sur cinq; Rodolphe Alexandre, Président de la Collectivité territoriale de Guyane; Georges Patient, sénateur de la Guyane; Lénaïck Ada, député de la Guyane; David Riché, Président de l’association des maires de Guyane; Sophie Charles et Paul Doliank, maires des communes de l’ouest de Saint-Laurent du Maroni et d’Apatou, respectivement, sont tous en faveur du projet.

Conformément à la réglementation française, la joint-venture Montagne d’Or (Columbus 44,99 % et Nordgold 55,01 %) a fait part à l’Administration française, en novembre dernier, de sa décision de poursuivre le processus d’obtention du permis d’exploitation minière et le développement de la mine Montagne d’Or. Cette décision est intervenue à l’issue de la consultation publique menée par la Commission nationale du débat public (CNDP) en 2018 (communiqué de presse du 27 novembre 2018). Elle tient compte des recommandations de la CNDP visant à améliorer et modifier certains aspects du projet.

À ce titre, des études techniques complémentaires sont en cours sur les éléments techniques suivants : 

  • modification de la conception des installations de stockage des résidus miniers en vue de l’abaissement des digues de retenue;
  • révision du stockage des stériles;
  • analyse détaillée du bilan hydrique et du plan de gestion des eaux;
  • étude de faisabilité d’une production d’énergie solaire hybride sur le site;
  • production d’explosifs sur le site.

En 2018, le gouvernement français a constitué une mission interministérielle chargée d’évaluer les avantages et impacts sociaux et économiques du développement de l’industrie de l’extraction aurifère en Guyane. Cette mission a intégré dans sa réflexion l’ensemble des parties prenantes et a remis un rapport à l’État français en décembre. Ce rapport comporte des recommandations sur les conditions du développement de l’industrie de l’extraction aurifère en Guyane, en mettant particulièrement l’accent sur Montagne d’Or, le projet aurifère d’envergure le plus avancé du territoire. Le rapport n’a pas encore été rendu public.

De plus, un nouvel organisme environnemental a été créé par l’État français le 25 avril 2019, le Conseil de défense écologique (le Conseil), présidé par le président de la République, Emmanuel Macron. Le premier conseil a eu lieu le 23 mai 2019. Le premier ministre français a communiqué les nouvelles exigences environnementales relatives au secteur minier, que les projets miniers devront respecter, et qui seront définies dans un nouveau code minier qui devrait être acté avant la fin de 2019. Selon le Conseil, le projet Montagne d’Or n’est pas compatible avec ces nouvelles exigences. La joint-venture Montagne d’Or s’affaire à examiner de près les commentaires de l’État français afin de mettre sur pied un projet qui répond aux attentes du gouvernement en matière de protection de l’environnement, et qui tiendra également compte du nouveau code minier en cours de rédaction. 

Voici les prochaines étapes relatives à l’obtention du permis d’exploitation minière :

  • prolongation des concessions minières;
  • réalisation des études techniques à l’appui des modifications à apporter au projet;
  • réforme du code minier français.

Réforme du code minier français

En mai, le ministre de la transition écologique et solidaire a annoncé que la réforme du code minier interviendrait avant fin 2019. Cette réforme a pour objectif de permettre le développement des ressources minières françaises selon des exigences environnementales et sociales strictes, et de mettre en adéquation certaines procédures du code minier avec la Charte de l’environnement. Cette réforme est en cours.

Les demandes de permis et d’autorisations de construction, environnemental et d’exploitation minière dans le cadre du développement de la mine tiendront compte des nouvelles dispositions de la réforme du code minier, qui s’appliqueront à Montagne d’Or.

Rock Lefrançois, Président et directeur général de Columbus, explique : « La formation du Conseil et la réforme du code minier français permettront de moderniser l’industrie minière en Guyane et d’équilibrer les priorités pour toutes les parties prenantes. »

Prolongation des concessions minières

Conformément à l’article L 144‑4 du code minier, des demandes de prolongation d’une durée de 25 ans ont été déposées auprès de l’Administration française pour deux concessions minières avant la date d’échéance du 31 décembre 2018. Ces deux concessions minières couvrent le gisement Montagne d’Or et l’indice aurifère d’Élysée. Des demandes de prolongation n’ont pas été déposées pour six concessions considérées non stratégiques, et par conséquent, sont venues à expiration. Le projet Montagne d’Or se compose actuellement de deux concessions minières en cours de renouvellement, et de deux titres d’exploration couvrant 93,5 km².

Une confirmation écrite officielle a été transmise par l’Administration française à toutes les sociétés détenant des concessions minières en demande de prolongation, indiquant que, conformément à l’article L 142‑9 du code minier, l’exploitant peut poursuivre ses travaux jusqu’à une décision expresse de rejet de sa demande de prolongation.

À propos de Columbus Gold

Columbus Gold est leader dans l’exploration et le développement de gisements aurifères en Guyane. La société détient des participations dans le gisement Montagne d’Or, d’importance mondiale. L’étude de faisabilité du projet a été achevée en mai 2017. La procédure tendant à la délivrance du permis d’extraction est en cours. Columbus progresse également dans l’exploration du projet aurifère de Maripa, où des forages réalisés dans le passé ont donné d’excellents résultats près de la surface, notamment 36 mètres à 4,3 g/t d’or. L’objectif de Columbus est de constituer et de faire évoluer son portefeuille de projets d’exploration de gisements aurifères dans le plateau de Guyane, région à fort potentiel qui reste encore peu explorée, au cours du processus d’obtention du permis de Montagne d’Or.

AU NOM DU CONSEIL D’ADMINISTRATION,

Rock Lefrançois

Président directeur général

Pour plus d’informations, veuillez contacter :

Relations avec les investisseurs

+1 604 634-0970 ou

+1 888 818-1364

info@columbusgold.com

Certaines déclarations et informations contenues dans ce communiqué de presse constituent des « déclarations prospectives » au sens des lois en vigueur aux États-Unis sur les valeurs mobilières et des « informations prospectives » au sens des lois en vigueur au Canada sur les valeurs mobilières ; elles sont désignées collectivement comme des « déclarations prospectives ». La loi des États-Unis de 1995 intitulée « Private Securities Litigation Reform Act » comporte des « dispositions d’exonération » pour certaines déclarations prospectives. Les déclarations prospectives constituent des déclarations et des informations sur des événements, des conditions ou des résultats d’exploitation possibles qui sont fondées sur des hypothèses sur les futures conditions économiques et pistes d’action. Toutes les déclarations et informations qui ne sont pas l’énoncé de faits historiques peuvent être considérées comme des déclarations prospectives. Dans certains cas, les déclarations prospectives peuvent être identifiées par l’utilisation de mots comme « rechercher », « s’attendre à », « anticiper », « budget », « planifier », « estimer », « continuer », « prévoir », « avoir l’intention de », « croire », « prédire », « potentiel », « objectif », « peut », « pourrait », « serait », « sera », de mots ou d’expressions similaires (y compris des expressions négatives) suggérant des résultats futurs, ou de déclarations sur des perspectives. Les déclarations prospectives de ce communiqué de presse et d’autres communiqués incluent, sans toutefois s’y limiter, les déclarations et informations qui concernent : ses projets, ou toute modification à ceux-ci, de développement de Montagne d’or;  les projets de construction et de développement pour la mine d’or Montagne d’Or, notamment le calendrier prévisionnel de celle-ci; le respect des autres exigences réglementaires pour la construction de la mine d’or Montagne d’Or, notamment, mais sans s’y limiter, la présentation et le traitement des demandes de permis pour la mine; l’échéancier et la prise de décision en lien avec l’exploitation de l’industrie minière aurifère en Guyane; le développement d’un projet répondant aux attentes de l’État français; le calendrier de la réforme du code minier français; les étapes relatives à l’obtention du permis d’exploitation; et la conclusion du projet d’exploration aurifère Maripa. Ces déclarations prospectives sont basées sur un certain nombre d’hypothèses et facteurs matériels. Elles comprennent des risques connus et non connus, des incertitudes et d’autres facteurs qui peuvent aboutir à des résultats et une performance industriels substantiellement différents de ceux prévus dans lesdites informations prospectives. Nous vous recommandons de ne pas vous fier indûment aux déclarations prospectives présentées dans le présent communiqué. Certains des risques connus et autres facteurs pouvant générer des résultats sensiblement différents de ceux exprimés dans les déclarations prospectives sont décrits dans la section « Facteurs de risque » du Formulaire d’information annuel de Columbus Gold Corp. disponible dans SEDAR sur le site www.sedar.com sous le profil de Columbus. Les résultats réels et les événements futurs pourraient différer sensiblement de ceux prévus dans ces déclarations. Columbus décline expressément toute obligation de mettre à jour ou de réviser les déclarations prospectives contenues dans ce communiqué de presse si ces convictions, estimations et opinions ou d’autres circonstances venaient à changer, sauf si cela est exigé par la réglementation en vigueur.