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Levée de fonds de Columbus Gold de 2 millions de dollars. Nordgold augmente sa participation dans Columbus. Point d'étape sur le projet Montagne d'Or

January 11, 2019

Vancouver, C.-B., Canada, 11 janvier 2019. Columbus Gold Corp. (CGT : TSX, CGTFF : OTCQX) (« Columbus ») a le plaisir d’annoncer une levée de fonds d’un montant de deux millions de dollars canadiens.

Le présent communiqué fait également un point d’étape sur le projet de mine d’or Montagne d’Or en Guyane (Columbus 44,99 % et Nordgold 55,01 %).

Ce placement privé* consiste en l’acquisition d’un maximum de 10 000 000 unités au prix de 0,20 $ chacune. Chaque unité est composée d’une action ordinaire de Colombus et d’un demi-bon de souscription. Un bon entier donne droit à une action ordinaire de Columbus au prix de 0,40 $, au cours des 12 mois suivant la clôture du placement. Des honoraires seront versés pour une partie de ce placement, en conformité avec les règles établies par la Bourse de Toronto (le « TSX »). Le produit de ce placement a vocation à financer des dépenses de fonctionnement de Columbus. Le placement est soumis à l’approbation du TSX.

Nordgold souscrira 4 671 048 unités de ce placement, portant sa participation dans Columbus à 9,99 % sur une base non diluée, et à 11,22 % après l’exercice par Nordgold de ses bons de souscription.

Columbus entend exploiter Montagne d’Or en Guyane conformément aux principes d’une exploitation minière responsable, visant à atténuer les impacts environnementaux sans entraver le développement économique. Montagne d’Or sera le deuxième employeur dans cette région de France touchée par un taux de chômage anormalement élevé.

« Le projet de mine d’or à Montagne d’Or, combiné au développement potentiel d’autres mines d’or dans la région (cliquez sur le lien pour voir l’emplacement d’autres sociétés actives en Guyane : www.columbusgold.com/i/nr/2019-01-11-map.pdf), stimulera l’économie toute entière de la Guyane grâce à la création de milliers d’emplois, » fait valoir Robert Giustra, président du conseil d’administration de Columbus. « En outre, la présence de sociétés minières responsables a un effet dissuasif sur les orpailleurs illégaux, dont les activités sont une cause de déforestation, de contamination due au mercure et d’envasement des cours d’eau. L’exploitation minière responsable protège les plus grandes ressources naturelles de la Guyane française, ses forêts et ses cours d’eau. » 

Le processus de délivrance des permis de Montagne d’Or se poursuit. Le 5 décembre 2018, la Commission nationale française du débat public (la « CNDP ») a pris acte de la décision de la joint-venture Montagne d’Or d’aller de l’avant dans la procédure de délivrance des permis, en acceptant les modifications énoncées par la CNDP (voir le communiqué de presse du 27 novembre 2018). 

Il est prévu que la mission interministérielle dépose son rapport au cours des prochaines semaines (communiqué de presse du 27 novembre 2018). La mission est composée d’un groupe de travail interministériel, sous la direction des ministres français de l’Environnement, de l’Économie et des Finances et de l’Outre-mer. Elle est chargée d’évaluer les avantages sociaux et économiques ainsi que les conséquences du développement de l’industrie de l’extraction aurifère en Guyane, en tenant compte notamment de Montagne d’Or, le projet aurifère d’envergure le plus avancé. Le gouvernement français, en étroite coopération avec les autorités locales de Guyane, déterminera les conditions d’intervention de l’industrie minière aurifère, en fonction des recommandations de ce groupe de travail.

Il existe une opposition à la mine de Montagne d’Or, de la part d’ONG et de quelques hommes politiques. Montagne d’Or continue cependant de bénéficier du soutien déterminé de nombreuses institutions et associations locales, notamment trois syndicats de salariés sur quatre ont signé un accord professionnel avec la joint-venture Montagne d’Or, et d’une majorité d’élus guyanais, au premier rang desquels M. Rodolphe Alexandre, président de la Collectivité Territoriale de Guyane, qui a déclaré à plusieurs reprises : « J’ai toujours dit que je soutiens la filière aurifère […] pour l’installation du légal à la place de l’illégal ». Très récemment, dans une interview télévisée du 7 janvier 2019, M. Alexandre a réitéré son soutien appuyé au projet. Cliquer ci-dessous pour visionner l’entrevue :

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D’autres élus guyanais sont aussi favorables à Montagne d’Or, parmi lesquels Sophie Charles, maire de Saint-Laurent-du-Maroni (Montagne d’Or est située sur le territoire de cette commune), Paul Dolianki, vice-président de la Communauté des communes de l’Ouest Guyanais et maire d’Apatou (la commune la plus proche de Montagne d’Or), Lénaïck Adam, l’un des deux députés membres de l’Assemblée nationale, et Georges Patient, l’un des deux sénateurs. Pour sa part, le député Gabriel Serville s’est déclaré opposé à l’utilisation du cyanure dans l’industrie minière et a demandé au gouvernement français d’en interdire l’usage. Sa proposition de résolution en est au stade embryonnaire : des mois, voire des années, pourraient s’écouler avant sa transformation en un texte de loi qui pourrait même ne jamais intervenir. Des propositions similaires d’interdiction de traitement du minerai au cyanure ont déjà été formulées par des membres du Parlement européen en 2010 et en 2017. Dans les deux cas, la Commission européenne les a clairement refusées (communiqué de presse du 20 novembre 2018).

D’autres personnalités importantes se sont déjà prononcées en faveur de Montagne d’Or (communiqué de presse du 7 août 2018), parmi lesquelles :

  • Paulin Bruné, ancien député de Guyane à l’Assemblée nationale et actuel président de la fédération locale du parti Les Républicains.
  • Jean Gontrand, conseiller élu de la Communauté des communes de l’Ouest Guyanais, membre de la Commission portuaire du Port de l’Ouest et conseiller municipal de Saint-Laurent-du-Maroni.
  • Denis Galimot, vice-président de la Collectivité Territoriale de Guyane.
  • Gauthier Horth, conseiller élu de Guyane.
  • Léon Bertrand, ancien maire de Saint-Laurent-du-Maroni.
  • Barbara Bartebin, adjointe au maire de Saint-Laurent-du-Maroni.
  • Bernard Sellier, adjoint au maire de Saint-Laurent-du-Maroni.
  • Michel Chaya, vice-président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Guyane.
  • Monique Guard, présidente de Citoyens Citoyennes, un mouvement collectif militant en faveur de causes sociales en Guyane.
  • Valentine Bonifacie, présidente de Les Premières de Guyane, incubateur pour entrepreneuses innovantes.
  • Thara Govindin, présidente du Mouvement des entreprises de France (MEDEF), Guyane.

Columbus étudie aussi d’autres possibilités d’exploitations minières en Guyane, qui pourraient lui permettre de jouer un rôle clef dans cette région aurifère émergente de classe mondiale.

*Les titres de placement privé dont il est question ci-dessus n’ont pas fait, et ne feront pas, l’objet d’un enregistrement en vertu de l’United States Securities Act de 1933 modifié. Ils ne pourront donc être ni proposés ni vendus aux États-Unis, non plus que pour le compte ou au profit de tout citoyen américain dès lors qu’ils ne font pas l’objet d’un enregistrement aux États-Unis et qu’ils ne répondent pas aux critères dispensant d’enregistrement sur ce territoire. Le présent communiqué de presse ne saurait constituer une offre de vente de titres ou une invitation à la souscription de valeurs mobilières. Toute offre de valeurs mobilières au public aux États-Unis doit faire l’objet d’un prospectus contenant des renseignements détaillés sur la société et sa gouvernance, ainsi que ses états financiers.

À PROPOS DE COLUMBUS GOLD

Columbus est le chef de file de l’exploration et du développement de gisements aurifères en Guyane française. La société détient des participations majoritaires dans le gisement aurifère de classe mondiale Montagne d’Or. Une étude de faisabilité du projet Montagne d’Or a été finalisée en mai 2017 et le processus de délivrance de permis est en cours. Columbus progresse également dans l’exploration de gisements aurifères à Maripa où des forages réalisés dans le passé ont donné d’excellents résultats près de la surface, notamment 36 mètres d’or à 4,3 g/t.

AU NOM DU CONSEIL D’ADMINISTRATION,

Robert F. Giustra
Président du Conseil d’administration 

Pour plus d’information, veuillez contacter :

Relations avec les investisseurs
604 634-0970 ou
1 888 818-1364
info@columbusgold.com

Certaines déclarations et informations contenues dans ce communiqué de presse constituent des « déclarations prospectives » au sens des lois en vigueur aux États-Unis sur les valeurs mobilières et des « informations prospectives » au sens des lois en vigueur au Canada sur les valeurs mobilières; elles sont désignées collectivement comme des « déclarations prospectives ». La loi des États-Unis de 1995 intitulée « Private Securities Litigation Reform Act » comporte des « dispositions d’exonération » pour certaines déclarations prospectives. Les déclarations prospectives constituent des déclarations et des informations sur des événements, des conditions ou des résultats d’exploitation possibles qui sont fondées sur des hypothèses sur les futures conditions économiques et pistes d’action. Toutes les déclarations et informations qui ne sont pas l’énoncé de faits historiques peuvent être considérées comme des déclarations prospectives. Dans certains cas, les déclarations prospectives peuvent être identifiées par l’utilisation de mots comme « rechercher », « s’attendre à », « anticiper », « budget », « planifier », « estimer », « continuer », « prévoir », « avoir l’intention de », « croire », « prédire », « potentiel », « objectif », « peut », « pourrait », « serait », « sera », de mots ou d’expressions similaires (y compris des expressions négatives) suggérant des résultats futurs, ou de déclarations sur des perspectives. Les déclarations prospectives contenues dans ce communiqué de presse et dans d’autres comprennent notamment des déclarations et des informations concernant : ses plans ou modifications à ses plans visant à développer Montagne d’Or, y compris ses emplois, son développement à venir de la filière aurifère et ses effets sur l’économie; les plans de construction et de développement de la mine d’or Montagne d’Or, notamment les délais prévus; la satisfaction d’exigences supplémentaires concernant la construction de la mine d’or Montagne d’Or, notamment le dépôt et le traitement des demandes de permis miniers; la remise d’un rapport final de l’équipe ministérielle commune française concernant Montagne d’Or; le délai et l’obtention d’une décision concernant le développement de l’industrie aurifère en Guyane française; les bénéfices sur le projet d’exploration de gisements aurifères à Maripa; le placement privé de parts, y compris ses conditions, son approbation et le choix de son moment. Ces déclarations prospectives sont basées sur un certain nombre d’hypothèses et facteurs matériels et comprennent des risques connus et non connus, des incertitudes et d’autres facteurs qui peuvent aboutir à des résultats et une performance industriels substantiellement différents de ceux prévus dans lesdites informations prospectives. Nous vous recommandons de ne pas vous fier indûment aux déclarations prospectives présentées dans le présent communiqué. Certains des risques connus et autres facteurs pouvant générer des résultats sensiblement différents de ceux exprimés dans les déclarations prospectives comprennent le projet de loi visant à interdire les technologies à base de cyanure dans le secteur minier en France et d’autres risques et facteurs, et sont décrits dans la section « Facteurs de risque » du Formulaire d’information annuel de Columbus Gold Corp. disponible dans SEDAR sur le site www.sedar.com sous le profil de Columbus. Les résultats réels et les événements futurs pourraient différer sensiblement de ceux prévus dans ces déclarations. Columbus décline expressément toute obligation de mettre à jour ou de réviser les déclarations prospectives contenues dans ce communiqué de presse si ces convictions, estimations et opinions ou d’autres circonstances venaient à changer, sauf si cela est exigé par la réglementation en vigueur.